« Je souffre mais je me soigne » ou les vertus émancipatrices de lamento

Par Geneviève JOLLY
Publication en ligne le 14 mai 2012

Pour citer ce document

Par Geneviève JOLLY, «« Je souffre mais je me soigne » ou les vertus émancipatrices de lamento», La Licorne [En ligne], Étude sur Derniers remords avant l'oubli et Juste la fin du monde, 2011, Collection La Licorne, Les publications, Le Théâtre de Lagarce du point de vue de la joie, mis à jour le : 25/02/2013, URL : https://licorne.edel.univ-poitiers.fr:443/licorne/index.php?id=5234.